Un midi, comme tant d'autres...

[Leonard Hart]

Il approchait 11:45 et Hart, feuilletant les dossier des patients des deux dernières années, n'avait pas vu le temps passer. ce n'était pas la faim qui le taraudait depuis un moment mais l'ennuis. Il avait mangé à peine deux heures plus tôt mais, à 10:00, la cafétéria était vide. IL n'avait pas pu jeter un coup d'oeil aux pensionnaires. Il jeta un coup d'oeil las à la pile de dossiers éparses sur son bureau. Les médecins et les psychologues qui les avaient rédigées ne s'étaient vraisemblablement pas mêlé de la vie de l'asile. ils écrivaient leurs rapports comme d'autres écrivent leur liste d'épicerie: une liste de points sans aucune subtilité. c'est à peine si on pouvait déterminer s'ils parlaient d'un humain ou d'un four micro-onde. Quelle pitié!

Il soupira, se leva de sa causeuse freudienne comme il l'appelait et s'étira longuement. Il entendit quelques craquement mais n'en fit pas de cas. après autant de temps assis, le corps décide toujours de rappeller son existance. Le corps... Quel chose inutile... c'est grotesque, un corps, c'est encombrant, un corps, c'est un obstacle à l'élévation de l'esprit, un corps. Malheureusement dans ce pitoyable monde, c'est un mal nécéssaire, il faut croire.

Il jeta un coup d'oeil à sa montre. 11:49. À cette heure, les asilés devaient commencer à envahir la cafétéria, espérant leur pitance quotidienne. Il épousseta négligement son veston et se dirigea d'un pas mesuré vers l'antre aux milles odeurs, toutes plus insignifiantes les unes que les autres. avant de sortir de son sanctuaire, Hart s'était composé un visage un peu naïf et heureux. Avec un air aussi bête, aucune chance qu'un détenu le prenne pour un membre de l'ordre des médecins. Il passerait pour un excentique, ce qui était le mieux dans la situation. d'expérience, Il savait que les gens ne font pas toujours confiance à l'autorité, en particulier dans le domaine psychiatrique. Pour gagner la confiance de tous, il serait jusqu.à nouvel ordre, un détenu parmi d'autres. En moins de 20 seconde, il se forma une histoire plausible (trop peut-être pour un simple plan B) et c'est avec l'air d'un décalé-de-la-réalité-ne-sachant-pas-qu'il-était-arrivé-dans-un-asile-remplis-de-psychopathes-en-puissance qu'il franchit la porte de la cafétéria.

Quelques détenus étaient déjà présent et mangeaient le plat du jour. Du pâté chinois... beuh... Il se dirigea vers les cantinières.

-Bonjours mesdames, comment allez-vous.
-C'midi, c'est du paoté chinois, rien d'autre, répondit une grosse dame d'un ton bête et cassant.

Quelle charmante personne...

Autant essayer de la mettre de son côté. Il l'observa quelques centièmes de seconde.

Fait numéro 1: elle est grosse et moche. Fait numéro 2: Malgré son uniforme horrible et le filet qui lui retient les cheveux, elle a gardé ses boucles d'oreilles, son collier de perle assorti et elle porte du rouge à lèvre. rouge à lèvre d'une couleur certes démodé depuis près de... 6 ans mais, cela démontre une tentative d'être féminine et belle. Fait numéro 3: elle est bête et hargneuse. Déduction: elle est frustrée et ne s'est pas fait dire qu'elle est belle depuis environs 6 ans. Fait numéro 4: Ses bijoux sont très propres sauf sa bague de marriage. Déduction: marriage malheureux, cherche de l'attention et de l'affection. Fait numéro 5: il y a un pendentif en forme de X ou de T dans sa poche. La chainette du collier dépasse. Déduction: elle est croyante.

Il ne prit qu'une barre tendre.

-Non merci, madame. je n'ai pas très faim de ce pain là. Je ne prendrai que ceci et l'emporeterai dans ma cellule.

Elle voulut protester mais elle n'en eut pas le temps.

-En passant, vous êtes sublime, aujourd'hui. Vous ressemblez à l'image que je me fais de la vierge Marie.

Il lui offrit un sourire ingénu. Elle rougit un peu, bagaya légèrement et le laissa passer.

C'est tellement pitoyable que ça en est divertissant.

Il s'accota à un mur et mangea distraitement sa collation, observant les détenus qui arrivaient.

[Juliet W. Lester]

Une journée de merde comme les autres s'était annoncée en matinée et c'était concrétisé vers l'heure du diner. Des nouveaux potables? Zéro, niete, aucun, ils avaient disparus, et sans l'aide et l'œil scrutateur de Jenny, Juliet se sentait seule et stupide. Comment pouvait-elle ne pas trouver de nouveaux qui serviraient de... dessert? à une cérémonie future. Nathan lui avait confié une tache simple pourtant, alors, pourquoi ne réussissait-elle pas à en trouver?! Malheureusement pour la grosse dame fort peu sympathique de la cafétéria, qui apparemment semblait plus joyeuse que d'habitude, Juliet n'était pas d'humeur.

-C'midi, c'est du paoté chinois, rien d'autre.

Elle la regarda d'un regard supérieur. Fallait se l'avouer, Juliet était supérieur à la vielle dame de la cafète.

- Ton pâté chinois est pas mangeable, alors, arrête de vouloir nous empoisonner parce que nous au moins on a une raison d'exister autre que de faire chier le peuple!

Et elle prit une poignée de pâté chinois et la lança dans le visage de la grosse Linda, comme on la surnommait, puis elle prit la boite à lunch de Linda justement et alla s'asseoir. Depuis la crise de Nathan et sa petite démonstration de force, les gardes et tous les autres membres du personnel la fuyaient, de peur justement de finir comme le pauvre Zed. Juliet prit place à sa table habituelle, sous les regards jaloux des autres pensionnaires. Il avait raison après tout, eux qui n'avait qu'un pâté chinois immangeable, tandis qu'elle, du chinois, du vrai. Tous les plats chinois que la grosse Linda mangeait... c'était... étonnant qu'elle ne soit pas plus grosse! Il y en avait pour plusieurs personnes! Juliet espérait que ses amis se joignent à elle, sinon elle ne finirait jamais de manger!

[James Haute-Marne]

James était dans les premiers à se rendre dans la cafétéria. 12h00, pile l'heure où on lui avait demander de se présenter ici. Il arrangea son noeud papillon, preuve évidente d'un stress qui l'habitait. Toutes les tables étaient prises. Il devait donc s'assoir avec des inconnus? Mais non, bien sur, il dérangerait! Lentement, il se dirigea vers le centre, où il était épier de tous les coins. Il n'était pas à l'abris des regards. Il serra les poings. C'était son premier jour ici, son premier repas. Que devais-il faire maintenant? Seul un homme antipathique lui avait dit de se présenter ici, à midi, pile.

« Sois à la cafet' pour 12h00 si tu veux manger. Bienvenu en enfer. »

Génial. Pourquoi était-il ici? Qu'était-ce donc, ce monde pitoyable de haine? Le paradis, certainement pas. L'enfer n'est que l'enfer, rien d'autre. Malgré tout, les gens considèrent la vie comme un cadeau du ciel, mais quel ciel! L'enfer reste l'enfer, rien n'y fera. James commença à ce balancer sur ses pieds, que devait-il faire mainteant?

Il fit un tour sur lui-même pour observer ce qui l'entourait; Il y avait des gens qui faisait la file pour recevoir un repas qui n'était même pas digne de ce nom, et ils attendaient, avide de cette future dégustation. D'autres mangeait comme des porcs à des tables comme si leur vie en dépendait; ce qui est vrai, dans un sens. Il apperçu des hommes dans un coin, ils n'avaient pas l'air net. James les mit immédiatement sur sa liste noire. Il se trouvait parmis les meurtiers, encore pire, parmis les fous. Il n'était pas un meurtrier, encore moins un fou!

« Je ne devrais même pas être ici! »

Encore une fois, il effaça ses pensées de sa tête. Elles ne lui servaient à rien. Rien, voilà ce qu'il fera, c'est ce qu'il a toujours fait. C'est ainsi qu'il a été élevé. Il se devait d'obéir, voilà tout.

« Obéir... »

Midi deux. Où devait-il se diriger désormais? Il avait fait ce qu'on lui avait dit, soit se retrouver ici, à cette heure. Il commença à se diriger vers la file, cette immense masse de gens, il ne distinguait même pas le bout de tout cela. Enfin, devait-il le faire? On lui avait seulement demander de ce présenter ici, à cette heure. Mais, si l'on suit se résonnement, on ne lui avait pas non plus demander de faire quelque chose. Alors, il devait rester ici, et ne rien faire? Peut-être. James apperçu une table ou seule une jeune femme siègait. Elle n'inspirait pas la peur, il la trouvait même jolie. Elle n'avait pas l'air folle non plus, personne ne l'approchait? Qu'avait-elle fait? Dans un asile, il faut se méfier de tout, même les plus doux lapins peuvent se dévoiler des monstres.

Après quelques minutes d'hésitation, seul, au beau milieu de cette foule, il osea s'assoir sur cette table. Évidemment, le plus loin possible de la femme, il dérangerait autrement. Il ne devait pas l'importuner. Comme toujours, on l'ignorerait, c'est ce que les autres ont toujours fait. Il n'était qu'une âme solitaire, à qui l'on ne devait rien. Il se contenta donc de s'assoir, seul, parmis les fous. James soupira.

[Nathan Klein]

Nathan entra après que tout le monde soit entré. Il était accompagner de Olivia qui n'était pas trop sur de vouloir rester avec lui. Dès qu'il fut à la lumière de la cafétéria, tout le monde se tu. Nathan n'avait beoin de rien pour savoir qu'ils attendaient tous qu'il fasse quelque chose. Nathan alla s'asseoir avec son amie Juliet qui avait dégoter un bon repas, même si il n'avait pas faim comme à son habitude. Dès qu'il fut assis, le vacarme recommença.

Nathan offri un peu de pâté chinois à Olivia qui accepta et commença à courir autour de la table et à jouer avec des jouets que Nathan ignorait la provenance. Il se contentait de la regarder en se demandant comment elle faisait pour avoir autant d'énergie. Puis, il senti quelque chose. Un regard. Il senti un regard posé sur lui. Nathan fit rapidement le tour de la salle et remarqua un individu l'observant essayant de remarquer le moindre détail. Pour Nathan, il était clair que cette personne qui essayait de se faire passé pour un détenu en était nullement un. Il avertie Juliet sans montrer dans quel direction était l'homme, même si il savait qu'il l'avait vu.

-Le docteur est pas content, il a appeler des renforts.

[Natsu Jiuvida]

Natsu l'air fatiguee . Portait sa guitare sur son dos.Sa tenue avait radicalement changer. Il portait un tee-short Heavy metal. Ces yeux vert fixerent le nouveau.Il prit la nourriture en soupirant.C'etait une nourriture deprimante , le pate chinois. Il salua Nathan et juliet et s'approcha de Leonard.
-Comment tu t'appelle?
Il tendit la main.

[James Haute-Marne]

HRP/: James, pas Léonard! :/HRP

James observa se qui venait de se passer. On l'avait saluer, on lui avait demandé son nom. Non, ce n'était pas son imagination, ça c'était bel et bien passé, et ça se passe en ce moment même. Tremblotant, James serra la main de l'homme et repondit, sans hésitations, on lui avait posé une question, il se devait de répondre, c'était la moindre des choses;

- James. James Haute-Marne.

Il se dégagea par la suite et croisa ses mains ensemble de façon qu'il ne puisse même plus en avoir le mouvement. James releva la tête et essaya de déchiffrer la réaction de l'homme qui était à côté de lui.

« Non, tu ne dois pas t'imiser dans la tête des gens! »

Par la suite, il posa un léger regard sur la femme qu'il scrutait quelques instants pour tard. Deux personnes étaient avec elle, elle n'était donc pas seule. Des amis surement. Tout le monde à des amis.

« Sauf m... »
« Non arrête de penser à toi! Idiot! Idiot! Idiot! Tu n'es pas important »

C'était vrai, il n'était pas important. C'est ce qu'il devait se dire. C'est ainsi qu'il a été élevé. Son père lui répetait toujours « Tait-toi et écoute, c'est tout ce que tu doit faire si tu veux réussir. ».

« J'ai été forgé ainsi. »

Une jeune fille était avec l'autre femme, elle courrait activement autour de la terre, ce qui monta un sourire en coin sur les lèvres de James. Ils n'étaient pas tous malheureux, c'est donc très bien.

[Natsu Jiuvida]

Natsu regarda attentivement James..il etait etrange . Il semblait perdu ...
-Pourquoi es-tu ici ?
En suivant le regard de James , Natsu vit qu'il etait interessee par les filles .
-Si tu veux ,je pourrais d'aider ,je sais faire de la musique.

[Juliet W. Lester]

:HRP: Tu me connais pas Natsu, tu savais pas que c'était moi la femme ninja...

Rapidement, Nathan, suivit de son chien de poche virent s'asseoir à sa table rempli de magnifique nourriture chinoise, un délice. Peu après, à midi pile en fait, un nouveau arriva, et il semblait perdu. Atrocement perdu. Mais Nathan lui parlait, elle ne pouvait donc pas aller voir le jeune homme, malgré le fait qu'il lui inspirait une pitié intense, chose plutôt rare pour elle. Peut-être était-ce le fait qu'il semblait sortir d'une autre époque, ou encore que ses cheveux brun-blond lui rappelait douloureusement la chevelure soyeuse de son jeune frère, qu'elle avait délibérément tuer, tout du moins aux dernière nouvelles il était dans un état critique, mais elle voulait l'aider, chose qu'elle n'avait pas fait autrefois.

-Le docteur est pas content, il a appelé des renforts.

Si Nathan l'avait coupé dans ses pensées nostalgique, le fait que le docteur est appelé des renforts brisa la petite bulle dans laquelle elle était.

- Le docteur à appeler des renforts? Ouais, c'est mauvais...

Elle regarda subtilement l'homme dont parlait Nathan. Il avait l'air plutôt inoffensif, mais Juliet se fiait au flair de son ami. Comme à chaque fois que Nathan parlait que le docteur avait "peur", Juliet, pour se changer les idées, écoutait les conversations des gens autour d'elle, chose qu'elle ne faisait habituellement pas. C'est ainsi qu'elle apprit le nom du nouveau. James Haute-Marne. Elle eut un sourire triste. L'espoir qu'Elle avait pu avoir s'envola. Non, ce n'était pas son jeune frère. Simon qu'il aurait dut s'appeler. Elle ferma les yeux. Juliet se devait de le connaître, ne serait-ce pour satisfaire sa curiosité montante. Sans plus attendre, elle l'invita à sa table, ou plutôt de prendre place à côté d'elle et de partager leur repas à elle et Olivia, Nathan ne mangeant pas. Elle ignora ostensiblement l'autre, celui qui l'avait endormit, lui en volant encore trop pour faire preuve de gentillesse à son égard.

[James Haute-Marne]

-Pourquoi es-tu ici ?

C'est une très bonne question, il se le demandait lui-même. Pourquoi était-il ici? Peut-être était-ce parce qu'il ne savait pas se prendre en main, qu'il n'était pas capable de faire quelque chose tout simplement. Peut-être, oui.

- Sans vouloir vous offensez le moindre du monde, alors la moindre du monde, je pense que cela va rester mon jardin secret. Excusez moi pour mon impolitesse, je suis confus...

Après le pourquoi il faut se demander le comment. Comment? Ça, il le savait très bien. Tout lui remontait à l'esprit, les gamins qui le battaient, lui, incapable, un parfait incapable, les cris, la police, les services sociaux, Os Madness. Voilà le comment. Ce n'était pas très précis, mais c'était suffisant. Plus il y aurait de détails qui lui remonteraient à la tête, plus il souffrirait, et il le savait très bien. La violence n'est pas gratuite, non.

-Si tu veux ,je pourrais d'aider ,je sais faire de la musique.

James était étonné de cette proposition. Quelqu'un qui voulait l'aider, c'était impossible. Jamais, je dis bien jamais, il n'a été gracié d'une quelquonc aide, et ce n'est pas aujourd'hui que ça allait changer.

- Merci monsieur, mais, je crois que je sais me débrouiller seul. Je fonctionne comme cela.

Après un soupir, il décroisa ses mains et reposa son regard sur la jeune femme qui l'intriguait. Il ne savait même pas pourquoi elle l'intrigait, c'était ainsi, voilà tout. Pas question de se poser des questions, c'est inutile. Un fait reste un fait, que l'on se questionne ou non. Une chose incroyable arriva; elle l'invita à leur table. Durant un instant, il regarda autour de lui pour savoir si elle c'était bien à lui qu'on s'adressait, histoire de ne pas passer pour un imbécile. En effet, c'était à lui que l'on s'adressait. Était-ce une invitation ou un ordre? Il ne devait pas se poser de questions, il devait agir dans le feu de l'action. Enfin, ce n'est pas une très grande action, mais il se devait d'agir. Sans plus attendre, il se mit debout, s'excusa à la personne qui lui parlait quelques instants plus tôt et vint prendre place. Il laissa quand même une chaise d'espace pour ne pas paraitre trop malpolis et prendre trop d'espace. Il sentit un malaise venir s'installer, l'astmosphère devenait-elle lourde? James prit donc la peine de parler;

- Merci, c'est très apprécié.

[Olivia Hart]

Nathan avait, par on ne sait quel miracle, réussi à convaincre Olivia de sortir de sa cellule ou elle se murait depuis l'Incident. Après beaucoup d'efforts, il l'avait convaincu qu'il fallait à tout le moins qu'elle mange un peu et lui avait tendu la main pour l'amener à la cantine. hésitant, elle l'avait prise et l'avait suivi, en babillant pour combler son malaise se se retrouver avec celui qui avait déclanché autant d'horreur quelques jours plus tôt. bientôt, elle chassa cet incident de son eswprit et continua de babiller tout simplement parce que c'était dans son tempérament. Nathan se taisait, comme d'habitude.

Quand ils arrivèrent à la cafétéria, le vacarme qu'il y régnait se tue brutalement. Par principe, elle se tue aussi. Tous se rappelaient, elle y compris, sa crise dans la cours. Chassez le malaise et il revient au galop comme sit le proverbe... Elle jeta un coup d'oeil à Nathan puis à sa main captive de la sienne et avala sa salive. En silence Nathan l'entraîna vers la table où la madame rousse de l'autre fois, Juliet, était assise et déjeunait d'une boite à lunch. Boite à lunch? Depuis quand y avait-il des boîtes à lunch en prison? surtout qu'il y avait un cafétéria. Elle jeta un regard vers la cantine et y apperçut une grosse madame tenter s'essuyer du mieux possible le paté chinois qu'elle avait dans le visage. Elle remarqua que cette madame n'avait plus sa boîte à lunch. Son regard glissa de la dame à Juliet puis de Juliet à la dame. elle venait de comprendre la pourquoi de la boîte à lunch mystérieuse. Dès qu'ils furent assis, le vacarme recommença et elle, fit semblant de retrouver sa bonne humeur et se remit également à babiller.

(HRP:Nathan, t'es-tu fou? Olivia courir? Elle se pèterait la yeule! bah au pire ce sera drôle... décide-je de t'énerver ou décide-je pas de t'énerver? décide-je de t'énerver)

Dès qu'ils furent assis, Olivia sortis du'un petit sac qu'elle portait en bandoullière des petites voitures. Elle avait découvert que l'un des garde qui fesait des rondes près de sa cellule en était collectionneur. Il en gardait plusieurs dans son casier. Elle l'avait suivi une fois et avait appris son code. depuis, elle y retournait une fois de temps en temps pour lui en piquer. Une de plus ou de moins, quelle différence?

Nathan lui offrit un peu de pêté chinois. Elle hésita un instant mais finit par accepter sous la pression de son ventre qui décida, au moment de l'offre, d'émettre un gargouilli fort peu discret. Beuh... il était vraiment insipide, ce pâté chinois... elle comprenait pourquoi Juliet avait pris la boîte à lunch de la grosse madame...

Après avoir englouti quelques bouchées de ce "plat", elle retourna à ses petites voitures. frénétiquement, elle les faisait bouger à toute allure, provoquant accidents, carambolages, "explosion" et autres.

-Vrrrrrrrrrr! VVRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR MHHHH... ÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎkkkkkk!

Elle s'amusait beaucoup. Elle se leva et commença à faire rouler ses voitures dans les airs. Des voitures volantes! C'était peu-être des jouet pour garçon, ou du moins n'y avait-elle jamais touché dans son ancienne vie, mais elle devait avouer que c'état très amusant. Emballé par son jeu, elle fit rouler ses petites voitures sur Nathan qui, impassible, observait les alentours.

-Le docteur est pas content, il a appeler des renforts..

- Le docteur à appeler des renforts? Ouais, c'est mauvais...

Olivia stoppa net. Encore le Docteur? C'était qui celui là?dans son esprit, le Vieux et le Docteur était une seule et même personne et elle n'avait aucune information sur eux.

-C'est qui le Docteur? demanda-t-elle de sa voix candide.

Elle tourna son regard, vers Nathan, ainsi ne vit-elle pas Juliet jeter un regard sur un point derrière eux.

Bientôt un nouveau venu arriva sur l'invitation de Juliet. Après son analyse poussé, taille, poid, volume, mensurations, protortion et tralala, elle lui sourit. Il s'assied à une chaise de distance de Juliet, mal à l'aise.

- Merci, c'est très apprécié.

-Bonjour Monsieur!

elle lui tendit la main. il avait l'air gentil.

-Vi!

[Juliet W. Lester]

Évidemment, l'homme, ou plutôt James, était venu s'asseoir. Timide, vu qu'il c'était assis à une place de distance d'elle.

- Vi!

Suivant l'expression de la fillette, elle sourit elle aussi à James.

- Tiens, dit-elle en lui tendant des mets chinois. C'est déjà moins infect que le pâté chinois. Faudrait pas que tu t'intoxique dès ton arrivée! Les séjours à l'infirmerie laissent des séquelles.

Du doigt, elle lui pointa Hilda, une grosse dégueulasse qui bouffaient autrefois ses compagnons. Aujourd'hui, après plusieurs séjours dans la dite infirmerie, elle était devenue légume, et légume elle resterait. Son attention se porta alors sur la nourriture infect que mangeai encore Olivia. Son regard se fit horrifié.

- Nathan! Pauvre sans-cœur! Tu lui as donné du pâté chinois! Oh, Vi, ma pauvre, toi aussi prend ça, c'est cent fois meilleur que... Enfin, mange quelque chose de bon, tu es quand même en plein dans ta croissance!

Elle s tourna par la suite vers James. De plus proche, elle pouvait aussi voir ses yeux, identiques à ceux de son frère. Là, elle eut envie de se gifler. Mais qu'Est-ce qui lui prenait aujourd'hui? Instinct maternel envers Vi, maintenant elle prenait ce jeune homme pour son frère. Décidemment, elle allait devoir aller se pratiquer avec ses sabres, enfin, son sabre et celui des deux autres...

- Alors James, sans vouloir être trop indiscrète, évidemment, et si bien entendu ça ne te dérange pas, pourquoi t'es rendu dans cet endroit de fou?

:HRP: Pour répondre à la question de Olivia, et vu que c'est déjà passer ou je suis rendue à poster, imaginer que je l'ai poster dans un autre de mes posts dans lequel ça marche.

-C'est qui le Docteur?

Juliet regarda Nathan. Il n'avait pas parlé à sa protégée du Docteur?

- En fait, le Docteur est, euh, un ami de Nathan. Il est... souvent avec lui quoi...

Comment aurait-elle pu dire que c'était quelqu'un dans la tête de Nathan sans que son ami ne veulent? S'il n'en avait pas parlé à Vi, c'était surement pour une bonne raison.

[Nathan Klein]

C'est Olivia qui ramena Nathan à la réalité en lui faisant roulé des voitures sur son corps. Ils les regardait un peu surpris. Où avait-elle dégoter cela? Peut lui importait, il ne fit comme si rien était. Il se contenta de regarder encore le détenu qui n'avait rien pour être ici. Il n'arrivait pas à trouver le petit quelque chose qui lui disait de se méfier de lui. Encore une fois, Olivia le ramena à la réalité avec une question à laquelle il ne s'attendait pas.

-C'est qui le Docteur?

Nathan ouvrit grand les yeux. C'est vrai qu'il en parlait beaucoup, mais il ne voulait pas avoir cette discution avec Olivia, du moins pas tout de suite. Il allait partir lorsque Juliet vint à sa rescousse bien que sa réponse semblait peu sur de la manière qu'elle fut prononcer.

- En fait, le Docteur est, euh, un ami de Nathan. Il est... souvent avec lui quoi...

Puis elle regarda le repas d'Olivia et sermonna Nathan.

- Nathan! Pauvre sans-cœur! Tu lui as donné du pâté chinois! Oh, Vi, ma pauvre, toi aussi prend ça, c'est cent fois meilleur que... Enfin, mange quelque chose de bon, tu es quand même en plein dans ta croissance!

Nathan regarda Juliet un sourcil arquer par la surprise, depuis quand Juliet avait un instinct maternelle de la sorte. Elle su s'en rendent compte elle même vut qu'elle rougissait. C'était rendu une nouvelle manie chez elle. Nathan remarqua aussi pour la première fois l'individu qui venait de se joindre à eux. Il le salua d'un mouvement de la tête ne voulant pas faire mauvaise impression. Avec ce qui s'était produit réssament, mieux vallait garder profil bas.

[James Haute-Marne]

James était boulversé par toute cette attention qu'on lui portait. Il avala sa salive et s'accrocha à son banc de toute ses forces.

-Bonjour Monsieur!

Il sourit, cette petite était bien mignonne.

- Bonjour

-Vi!

- James. James Haute-Marne, enchanté.

Il lui serra la main et la regarda dans les yeux. Ils prouvaient une innocence certaine, mais une intelligence débortande. Cette fille avait du vécu, c'était certain. Enfin, tout le monde ici a du vécu, sinon, ils ne seraient pas là. Il ne fallait pas qu'il y pense encore. Vivre au moment présent, voilà ce qu'il se devait de faire, sinon il ne vivrait pas bien vieux. James décolla sa main de la sienne, et reprit sa position initiale.

- Alors James, sans vouloir être trop indiscrète, évidemment, et si bien entendu ça ne te dérange pas, pourquoi t'es rendu dans cet endroit de fou?

Encore cette question. Était-ce si important que cela? On dirait bien, ici, les gens vivent sur leur passé. C'est ainsi qu'ils se connaissent. Un passé peu dévoiler la personne que tu es présentement, le passé est inscrit en toi. Pourquoi ne parlaient-ils pas du futur? C'est bien simple, car leur futur n'avait pas d'avenir. Il se reprit en main et arrangea les manches de son veston. ^

- Je...Je m'excuse, mais je n'ai même pas envie moi-même de le savoir. Bien que je le sache au fond de moi, j'essaye de l'oublier.

Il reprit son souffle;

- Il est certain que cet endroit ne m'aidera pas.
James reprit de l'assurance;

- Peut-être qu'un jour nous pourrons en parler le plus normalement du monde, autour d'un feu peut-être, en en parlant juste pour se remémoirer des vieilles choses qui n'ont plus leurs places. Voilà ce que j'en pense.

Il réalisa ce qu'il venait de dire et ses yeux fahirent lui sortir de la tête. Il se leva debout et agita les mains;

- Excusez moi! J'ai été impoli! Ce que j'ai fait ne se fait pas! Pardon! Je... veuillez m'excuser.

James se rassis et serra les poings. Le monde autour de lui commencèrent à l'observer, ce qui lui fit monter une boule à la gorge.

« Pouquoi suis-je si faible? »

[Leonard Hart]

(HRP: s'cusez de n'avoir pas pu répondre plus tôt... parents sur mon dos et ordinateur réclacitrant, ce n'est pas idéal pour un long post de rettrapage, voyez-vous.)

Une jeune femme rousse fit son entré dans la cafétéria. les regard se tounèrent vers elle avec crainte et déférence. Elle était respectée, c'était le moins qu'on puisse dire. ferait elle une belle pièce dans sa collection? POur une jeune femme de cet âge, pour être craint à ce point, elle devait avoir des pouvoirs puissants. Elle l'intéressa... jusqu'à ce qu'elle explose de colère et qu'elle jette au visage de la pauvre cantinière une poignée de pâté chinois. il soupira discrètement. la violence, physique surtout, l'exaspérait. Les sots obtiennent par la violence ce qu'ils ne peuvent obtenir avec leur tête. Il ne voulait pas d'imbéciles dans sa collection, c'était indigne de sa propre intelligence. La jeune femme fut classé dans la liste des inintéressants.

Les pensionnaires continuaient d'entrer. aucun ne semblait sortir du lot. une bande de mouton avec le cerveau à l'envers. C'était ce qui l'ennuyait avec le recherche de pièces rares: le nombre de pièces sans valeur était hallucinant par rapport à celui des chef d'oeuvre. Hart n'amait pas particulièment l'étape de recherche. ce qui l'intéressait, c'était la traque, le jeu stratégique, la manipulation... Mais pour cela il fallait un sujet et un bon sinon le jeu n'a pas d'intérêt. il soupira de nouveau... la recherche d'un bon sujet s'apparentait à classer de la paperasse: ennuyant et long.

Un jeune homme arriva bientôt. Il semblait plutôt coincé et mal à l'aise. quoi de plus normal dans une ruche à psychopathes. S'il se souvenait bien, près de la moitié des pensionnaires étaient accusés ou fortement suspectés de meutre. Si ce fait l'avait intéressé lui à venir travailler dans cet endroit, y voyant un défi supplémentaire, pour une personne sensé, c'était normal de ne pas se sentir à sa place. IL semblait plutôt normal et lucide ce qui amenait à la question que fait-il ici? il aurait le temps de le découvrir mais en attendant, il le classait dans la même section que la dame rousse. Se serait trop facile!

Soudainement, le murmure ambiant de la cafétéria cessa et tous les regard se posèrent sur un jeune homme debout sur le seuil de la porte de la cafétéria. Tous le regardait avec une crainte non dissimulée. Il regarda rapidement la cafétéria sans vraiment le remarquer puis, lentement, marcha jusqu'à la table de la dame rousse. Dès qu'il s'assied, le murmure de la cafétéria reprit.

Fait numéro 1: il est puissant. tout le monde a peur de lui. Déduction: il possède sans doute des pouvoirs puissants, des capacités psychokinésiques théoriquement, pour insifirer autant la crainte.. Fait numéro 2: Il ne profite pas de cette notoriété. Il n'est pas violent. Déduction: Il utilise sa tête pour obtenir ce qu'il veux. IL est brillant.

Hart baissa la tête pour cacher le sourire sinueux qui s'étirait sur son visage. Il venait de trouver sa prochaine oeuvre à acquérir.

il effaça le sourir de son visage et reprit un visage moins décalé. Il releva la tête vers la table ou il s'était assis. il remarqua quelque chose. Elle. Sa cousine.

Et merde...

Si elle le voyait, il allait falloir qu'il explique sa présence en ces murs. Il ne pourrait pas prétendre être quelqu'un d'autre. Il fallait donc qu'il prenne sa propre histoire et la transforme pour en faire quelque chose qui se tienne. IL serra les mâchoire environs cinq seconde, le temps de se forger un alibi puis, l'ayant trouvé, il se détendit.

Ensuite, il remarqua qu'Olivia Le suivait. sa commisure droite se releva légèrement mais cette micro expression disparut en un battement de cils.

Fait numéro 3: il ne parle pas, ou très peu. Problèmes d'expression orale. Déduction: renfermé sur lui même, peu d'amis intimes ou n'en ressent pas le plus grand besoin. Fait numéro 4: Olivia le suis, où du moins lui fait assez confiance pour le suivre, malgré sa nervosité apparente de tout à l'heure. Fait numéro 5: Olivia évite de se déplacer au maximum. Déduction: Il a du la trouver, et gagner sa confiance. Pourquoi? Hypothèse 1: C'est un pédophile. Hypothèse rejeté, un pédophile serait plus expressif et Olivia, brillante pour enfant de son âge, l'aurait senti. Hypothèse 2: Il aime les enfants. Hypothèse douteuse, il a peu d'amis et un enfant énervé ne conviendrait pas à son caractère. Hypothèse 3: Résonnance à sa propre histoire. Probable, vérifier Son dossier dès mon retours à mon bureau.

L'Homme finit par se retourner vers lui. Hart lui fit un sourire ingénu avant qu'il ne se retourne pour dire quelque chose à la dame rousse.

IL l'avait vu. Le jeu venait de commencer. Il venait de comprendre qu'il le regardait et se doutait qu'il n'était pas un simple détenu. peut-être avertirait-il ses codétenus de se méfier de lui mais il se savait suffisament bon acteur pour les berner et ainsi le faire passer pour un fou. Il se retrouverait donc isolé pour ce petit jeu entre eux.

il étourna la tête pour pouvoir penser sans que son regard ne devienne trop évident et envaïssant poir le concerné. Ce jeu était affaire de subtilité. Il ne fallait pas commetre d'erreurs dès le début sinon la partie entière s'en ressentirait.

pendant ses réflexions, le jeune homme coincé parlait avec un jeune homme avec une guitare sur le dos, type qu'il avait remarqué il y avait quelques instant pour son absence de toute forme de crainte envers le jeune homme et la jeune dame rousse.

Soit il se sait plus puissant qu'eux soit c'est un parfait imbécile. Je penche plus pour la deuxième option.

POur une raison ou pour une autre la femme rousse invita le coicé à la table qu'elle partageaut avec Olivia et Lui. Son regard revint Naturellement sur lui. Il continua de l'observer, remarquant ses micro espressions, tremblements imperseptibles dans une main, plissement involontaire des yeux, écartement des narines, pour ensuite en déduire qu'il avait sursauté quand Olivia lui était passé dessus en voiture (ne le prenez pas au mot ), son incompréhantion à l'égard de la provenance des dites voitures et qu'il procédait à son analyse. Encore une fois il lui offrit un sourire candide et lui envoya même un petit salut militaire. Il se trouvait divertissant.

Olivia détourna son attention, Olivia qui, soit dit en passant, ne l'avait toujours pas remarqué. Il réfléchit. Vaudrait-il mieux aller de l'avant et se présenter comme le cousin d'Olivia, ce qui lui permetterait de gagner leur table et de glaner plus d'information toute en donnant l'explication à Nathan qu'il l'observait parce qu'il voulait vérifier si elle était en sureté auprès de lui, ou valait-il mieux attendre et regarder jusqu'àce qu'elle le remarque? Il se dit que si il se présentait tout de suite à leur table, ce serait d'entrer dans l'arène sans armure. IL n'avait pas assez d'information pour tenter une appreoche directe. Aussi décida-t-il de rester éloigné pour le moment.

[Juliet W. Lester]

James ne semblait pas s'en souvenir, quoique tout le monde s'en souvienne. Peut-être aussi était-il ici comme elle, pour une erreur judiciaire. C'est sûr qu'elle avait tuer plusieurs personnes, mais qui ne l'aurait pas fait avec un don comme le sien, lorsqu'en plus on ne savait pas qu'on le possèdait? M'enfin...

- Peut-être qu'un jour nous pourrons en parler le plus normalement du monde, autour d'un feu peut-être, en en parlant juste pour se remémoirer des vieilles choses qui n'ont plus leurs places. Voilà ce que j'en pense.

Autour d'un feu? Pourquoi d'un feu? Bon, d'accord, ça sent bon, et puis faire carbonisé des guimauves, et peut-être aussi quelques personnes chiantes, mais parler autour d'un feu du monde? Et en plus, l'homme de tout à l'heure qu'avait indiqué Nathan comme "à surveillé" ne les avait pas lâcher du regard pendant un moment. Plus Nathan, évidemmnent, mais tout de même...

- Excusez moi! J'ai été impoli! Ce que j'ai fait ne se fait pas! Pardon! Je... veuillez m'excuser.

Et le pauvre se sentait mal?

- T'en fait pas, t'as le droit de tes opinions tu sais? T'as pas d'autre maître que toit-même, et ça, personne peut te l'enlever.

Juliet lui fit signe de s'asseoir.

- J'ignore pourquoi on t'a enfermer et pourquoi tu réagis comme ça quand tu t'exprime celui tes confictions, mais, euh, pas besoin, tu sais, on te mangera, euh, pas si tu veux être toi même.

[Olivia Hart]

Juliet regarda Nathan, interloqué. Nathan ouvrit les yeux grands. Quoi, qu'est-ce qui ce passe?
Qu'est-ce qu'ils lui cachaient?

- En fait, le Docteur est, euh, un ami de Nathan. Il est... souvent avec lui quoi...

Juliet avait répondu pour Nathan, comme si elle préssentait un malaise de sa part. Sa réponse était plus que vague mais Olivia comprit qu'elle n'en obtiendrait pas plus aujourd'hui. Note à elle même: Revenir sur le sujet le lendemain.

-Ah...

Elle ne semblait pas convaincue mais ils allaient comprendre qu'elle en avait assez pour ne pas les énerver pendant toute la journée.

L'inconnu nouvellement arrivé lui sourit et lui serra la main.

- Bonjour. James. James Haute-Marne, enchanté.

Sa gentilles et sa courtoisie l'enchantèrent. Il avait la même politesse et la même courtoisie que son popa. Elle le classa instantanément dans la catégorie des "très très gentils". Elle eut un petit gloussement satisfait avant qu'il ne lâche sa main.

- Tiens. C'est déjà moins infect que le pâté chinois. Faudrait pas que tu t'intoxique dès ton arrivée! Les séjours à l'infirmerie laissent des séquelles.

Alors que Juliet entammais une conversation avec James, son estomac émit un nouveau gargouilli qui la convainqui finalement de reprendre une bouché de pâté chinois. Vraiment, c'était insipide. Elle savait qu'il existait de mauvais cuisinier mais à ce point là, devait-on encore parler de cuisine? Juliet la regarda, horrifiée.

- Nathan! Pauvre sans-cœur! Tu lui as donné du pâté chinois! Oh, Vi, ma pauvre, toi aussi prend ça, c'est cent fois meilleur que... Enfin, mange quelque chose de bon, tu es quand même en plein dans ta croissance!

Voir Nathan se faire sermonner. Il ne semblait pas mais VRAIMENT pas habitué. En d'autres circonstance elle l'aurait taquiné mais son ventre émit un rappel sonore de son désir de se sustenter. Aussi, prit-elle, émerveillée et facsinée, un rouleau de printemps dans l'immence boîte à lunch.

-Woaaa... Mechiiii!

Elle mordi dedans à pleine dent. On dit que ventre affamé n'a pas d'oreille, il fallait rajouter que ventre qui se sustente devient sourd.
Juliet et James entammaient une conversation et elle ne les entendait même pas, trop concentrés qu'elle était sur la dégustation du rouleau de printemps. les saveurs, textures, à ce moment, c'était la seule chose qui lui importait.

-... confictions, mais, euh, pas besoin, tu sais, on te mangera, euh, pas si tu veux être toi même.

Elle avait raté un petit bout de conversation. Ne suivant déjà plus, elle se désintéressa complètement d'eux. elle se retourna, et regarda jeta un coup d'oeil circulaire à la salle. Elle remarqua un homme adossé dans un coin, mangeant une barre tendre sans appetit. Il les regardait. Taille moyenne, cheveux et yeux bruns, complet veston, souliers cirés. Son visage lui rappelait... Mais oui!

Elle se leva brusquement. C'était lui!!!

-Léo!!!!

Elle parti à la course vers lui. Malgré qu'elle ait l'immence cafétéria à traverser pour se rendre à lui, elle savait qu'elle y serait dans moins d'une demi-seconde. Restait à voir si se serait son cousin ou un mur qui arrêteraient sa course.

[Leonard Hart]

La jeune rousse continua de parler au coincé. Olivai reçu bientôt un rouleau de printemps qu'elle mangea, pas comme lui avec sa barre tendre, avec facsination, délectation et volupté. Il eut un sourire en coin. Mourir d'un empoisonnement alimentaire n'était pas une mort glorieuse ou intéressante. C'était à la fois grotestque d'ammener la destruction par le corps et ridiculement facile. Cependant, s'il se mettait dans la peau d'un empoisonné, la mort était une lente agonie en fait. il ne souhaitait ce genre de mort à personne. Olivia ne mourrirait pas empoisonnée aujourd'hui. L'autre peut-être, celui qui lui avait offait du pâté chinois et qu'il continuait d'observer avec attention, mais pas elle.

Il remarqua au passage qu'elle jouait plus tôt avec des petites voitures. Impossible qu'elle les ait en arrivant. Il connaissait assez bien la nounou de sa cousine pour savoir qu'elle n'aurait jamais acheté des jouets masculin à celle qu'elle considérait comme sa propre fille. Elle avait donc du les trouver quelque part dans l'asile. Comme il n'y avait pas d'enfant de son âge dans l'asile... faux, il était tombé plus tôt sur le dossier de son cousin et frère de l'autre, Richard... Quoique à douze ans, les petites voitures ont perdu leur intérêt.... enfin bref, celà devait provenir d'un autre médecin ou d'un garde. un autre point à investiguer.

Olivia finit son rouleau de printemps et jeta un regard circulaire à la pièce. son regard tomba sur lui.

Elle m'a vue.

Elle ne sembla pas tout de suite le reconnaître, puis ne pas en croire ses yeux avant qu'elle ne se lève debout avec un grand sourire. Il fit semblant d'avoir une confirmation à une question intérieure. Il fit briller une lueur de reconnaissance dans son regard. Elle se leva de son banc d'un bond, faisant sursauter Nathan qui avait retourné son regard vers lui pour encore chercher LE détail qui le trahirait.

-Léo!!!!

-Livi!!!

Elle enjamba le banc , toujours le regardant. Il se doutait qu'elle avait encore sa capacité bizard de pseudo téléportation et il savait qu'elle allait courrir vers lui comme toute gamine de sept ans qui se respecte ferait. Il eut raison. Elle disparut d'à côté de la table pour atterrir dans ses bras. heureusement qu'il s'était préparé à la réceptionner! Il la souleva de terre et la fit tournoyer dans les airs. elle riait, Naïve qu'elle était toujours. Il arrêta de la faire tourner mais la garda dans ses bras pour un calin. Elle était très fleur bleu et avait une image de lui comme étaint un cousin gateau. Pour lui, cette marque d'affectrion ne signifiait rien, juste un rituel pour garder sa confiance. Il relacha finalement son étrente et la reposa au sol.

-Livi! tu as bien grandis, ma foi! Une pomme et demi depuis la dernière fois que je t'ai vu!

Il eut un rire.

-tu dois avoir dépassé le compte des trois pommes!

Il lui ébouriffa les cheveux.

-Qu'est-ce que tu fais là?

[Nathan Klein]

Nathan commençait vraiment à s'interroger à propos de l'homme qui le dévisageait allant même jusqu'à un salut presque militaire. Il allait se lever pour lui parler lorsque Olivia poussa un cri.

-Léo!!!!

-Livi!!!

Là c'étais à ne plus rien y comprendre. Il venait de savoir que l'homme avait un lien avec sa protégée, mais lequel exactement il ne savait pas. Autre chose, la petite s'était présenter à lui comme étant Vi, non Livi. Un peu dépasser par les évènement et fatiguer par les évènements réçens, Nathan sortie de la cafétéria retournant dans sa cellule l'air pensif.

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